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3 idées fausses sur le télétravail

J’ai déjà évoqué la demande de collaborateurs à accéder au télétravail dans mon article « Managers : pour plus de performance, développez le télétravail ! ». Je ne reviens pas sur la crainte du manque de productivité car comme nous l’avons déjà évoqué, le travailleur à distance travaille bien souvent plus et mieux que son collègue en présentiel.
Mais certains managers restent rétifs au télétravail, pour de mauvaises raisons. Étudions certaines d’entre elles.

Développer le télétravail coûte cher à l’entreprise

Évidemment, mettre en place le télétravail a un prix : fournir des ordinateurs portables à ses collaborateurs est un coût incompressible. Mais le prix des ordinateurs a baissé depuis quelques années, et suivant la tâche de votre collègue, il n’a pas forcément besoin d’un ordinateur de « compétition » avec 2 cartes graphiques et un disque dur SSD.
Pensez néanmoins à son confort de travail, ce matériel doit être suffisamment puissant pour n’être pas obsolète au bout d’une année, ni trop basique pour entraîner des temps de réponse démotivants.

Et songez à l’intérêt qu’en retire l’entreprise :

  • des salariés motivés, plus impliqués dans leurs tâches et qui travaillent généralement plus qu’au bureau (pour montrer à leur N+1 leur engagement)
  • des salariés moins stressés (pas de transport, d’éventuels problèmes de stationnement,…) et donc plus efficaces au quotidien
  • des bureaux moins spacieux donc moins chers, avec juste une organisation de leur occupation si le manager souhaite néanmoins du présentiel un jour par semaine par exemple.

Télétravail et sécurité ne font pas bon ménage

Lorsque le travailleur à distance manipule des données sensibles, on peut craindre des fuites d’informations liées au télétravail.
Mais le simple fait d’être dans les locaux de l’entreprise ne suffit plus aujourd’hui à sécuriser les données utilisées : les flux d’informations sont partout. Dans l’entreprise même, il existe donc déjà une structure informatique efficace pour gérer ces données. Et travailler hors de l’entreprise n’est plus un écueil désormais, des solutions numériques existent pour échanger de façon sûre et cryptée d’un ordinateur distant à un réseau sécurisé.
Il s’agit donc d’établir un protocole que devra respecter le télétravailleur, tout comme le collaborateur présentiel respecte le sien.

« Et mes réunions ?! »

Le manager tient à ses réunions ! Il a le droit de s’inquiéter d’une modification de ses échanges avec ses collaborateurs distants. J’ai déjà traité ce sujet dans mon article « Focus sur le management à distance », qui étudie notamment des effets parfois pervers du management distant (mails « efficaces » et trop impersonnels, burn out difficile à diagnostiquer …). Mais quid des réunions ?
Là encore, il existe désormais des outils numériques qui permettent d’organiser des réunions comme si le collaborateur distant était physiquement présent (du type Skype par exemple). Ces outils permettent à chacun de prendre la main sur un écran, de partager le sien : l’interactivité est renforcée et l’implication peut être plus grande que devant l’habituel Powerpoint des réunions.
De plus, la distance et l’informatique permettent souvent d’aller à l’essentiel plus rapidement, ce qui là encore renforce l’engagement des participants.

En conclusion et pour aller plus loin

Le manager ni l’entreprise ne doivent craindre le télétravail. Il peut être d’abord testé sur quelques éléments volontaires et introduit comme une gratification.
Mais attention : le manager DOIT, lui, se former à cette nouvelle façon de travailler pour injecter de l’humain dans des échanges trop dématérialisés. Speciman peut vous aider dans ce cadre à travers des formations personnalisées : contactez-nous !

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